Test de l’imprimante 3D Stream 20 Pro

Quelle ne fut pas ma joie en apprenant que les fous furieux de chez filament-abs.fr cherchaient une imprimante 3D de qualité, à prix raisonnable et d’une simplicité d’utilisation à faire sourire Ribouldingue.

Allaient-il trouver l’arlésienne?

L’équation était compliquée; il fallait une imprimante grand public pouvant mettre les célèbres filaments OPtimus en valeur. Ceux-ci étant jusqu’à présent utilisés chez les professionnels dont les imprimantes FDM très haut de gamme, à chambre fermée ne sont financièrement pas à la portée des particuliers.

Les filaments ABS OPtimus sont utilisables sur toute imprimante 3D à lit chauffant. Cependant il fallait pouvoir:

  • Mettre en valeur les filaments sur une machine grand public.
  • Imprimer 12 à 24 heures par jour avec un maintenance réduite.
  • Pouvoir conseiller une imprimante 3D aux clients perdus dans le maelström créatif actuel

Volumic a eu la gentillesse (et l’intelligence!) de prêter une imprimante, le modèle STREAM 20 PRO, au fameux fabriquant français de filaments.

 

Stream 20PRO
L’imprimante 3D STREAM 20 PRO

La grotte de 3DPrint4Ever.fr étant située non loin des locaux commerciaux de filament-abs.fr, c’est tout naturellement que nous nous sommes proposés pour tester cette imprimante prometteuse.

Je ne décrirais pas le déballage, le site 3DNatives l’ayant déjà fait au préalable de son test de la Stream 20. J’ajouterai cependant que depuis, Volumic a ajouté un ensemble d’outils à l’instar de ceux présents dans la package de l’imprimante Zortrax, dont tout un tas de pinces à épiler appelées « brucelles », utilisées généralement par les horlogers.
Le set comporte:

    • 4 brucelles,
    • un cutter de précision,
    • 7 petits tournevis,
    • une clé plate,
    • trois clés allen,
    • une aiguille permettant de déboucher une buse,
    • de la laque « 3DLac »,
    • une massue en polystyrène (identique à la mienne),
    • une barbe de père noël
    • une bêtise de Cambrai.

Curieusement, aucune spatule n’est livrée. Un fort regrettable oubli qui sera, sans aucun doute corrigé dans une prochaine évolution de l’imprimante 3D.

Autre caractéristique remarquable, Volumic est une entreprise française et la gamme Stream est construite entièrement en France.

J’entends les grincheux, au fond de la salle et près du radiateur, ricaner. Le label « Fabrication française » est-il ringard? Evidemment s’il on pense à ce clown brasseur de vend d’Arnaud Montebourg, aucun doute possible, afficher un tel label peut prêter à sourire.

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Cependant le marché de l’impression 3D est aujourd’hui quasi intégralement chinois, de l’électronique aux moteurs en passant par le lit ou les supports. Or les salaires chinois ayant considérablement augmenté ces dernières années et l’Euro ayant récemment plongé, les producteurs, misant sur les volumes, ont totalement sacrifié la qualité pour maintenir leurs marges et un prix de vente faible.
Les tarifs très bas permettent de découvrir l’impression 3D mais certainement pas de travailler avec de tels composants très bas de gamme.
En outre, l’innovation dépend des progrès réalisés par les ingénieurs chinois. Le marché de l’impression 3D FDM évolue ainsi de façon homogène au gré des développements techniques des producteurs à bas coûts.

Par conséquent, pour sortir du lot il est nécessaire de maitriser la chaine, de la conception à la production en se fournissant en composants de qualité et au degré d’innovation inégalé. C’est le chemin qu’a suivi Volumic: une gamme d’imprimantes conçue en France avec des composants hors norme.

Les STREAM sortent-elles vraiment du lot? Nous allons le savoir avec le test qui suit.

Installation:

Comme le souligne 3DNatives, l’emballage est bien conçu. Ce n’est pas un packaging Apple mais il est judicieusement agencé et l’imprimante est très bien protégée. Je vous conseille néanmoins de vérifier le point zéro dès le démarrage car l’imprimante étant envoyée prête à imprimer, le calibrage peut avoir bougé pendant le transport. C’est d’ailleurs ce qui nous est arrivé. Pas de panique, la procédure de calibrage est très simple.

deballage-stream
Le déballage…

La Stream est carénée  avec des plaques d’aluminium très épaisses, remarquablement bien découpées (fraiseuse CNC) et ajustées. Il en résulte une impression de grande qualité. Volumic insiste sur l’aluminium utilisé, de « qualité aéronautique »,  qui est à priori une expression marketing sans fondement mais qui, en l’occurrence, témoigne d’un vrai label de qualité tant la finition est exemplaire. Précision apportée par Gérard Luppino, co-fondateur de Volumic,  il s’agit d’un aluminium 2017 usiné par un sous traitant aéronautique; l’expression « qualité aéronautique » n’est donc pas usurpée.

Nous fûmes de prime abord, moins convaincus par les boitiers et certaines pièces imprimées en 3D, dans un vert « flashi » qui se marie très bien avec l’aluminium teinté en noir. L’imprimante est très belle mais quid de la fiabilité et de la solidité des pièces imprimées en 3D?

Dans les faits et malgré nos tests intensifs, rien n’a bougé et au bout de trois semaines, aucun jeu, aucune casse, aucune faiblesse.

Des poignées sont découpées dans les parois et cela peut paraitre idiot mais nombre d’imprimantes 3D concurrentes n’intègrent aucun moyen permettant de les manipuler et les déplacer. Nous verrons que la conception de la Stream a vraiment été réfléchie jusqu’au plus petit détail.

Une fois l’emplacement de l’imprimante choisi, Il suffit de brancher le câble d’alimentation et, pour ceux qui disposent d’un PC sous windows, de connecter le câble USB fourni.

Chez 3DPrint4Ever.fr comme chez Filament-abs.fr, nous ne disposons que de Mac sous OS X. Les machines Apple ne sont pas compatibles avec la gamme Stream; c’est dommage mais en pratique, cela n’est pas important, Volumic conseillant de toutes les façons de laisser l’imprimante fonctionner de façon autonome à partir d’une carte SD (fournie) contenant les objets à imprimer au format numérique (GCode).

A ce propos, pour ceux qui tiennent absolument à connecter leur PC à l’imprimante, nous conseillons d’outrepasser la gestion du courant par l’alimentation de l’ordinateur. Ce composant est souvent négligé par les constructeurs et les variations de courant dans le réseau général génèrent des perturbations électromagnétiques responsables des problèmes de déconnexion intempestifs. Utilisez un PC portable ou installez un onduleur qui délivrera un courant stable.

Dans tous les cas, un onduleur est un achat indispensable si vous ne voulez pas voir vos impressions ruinées par une coupure de courant.

Lançons l’impression:

Heu, comment? Déjà? Et la lecture de la documentation?

Vade retro satanas! Je ne lis jamais la doc. Tout appareil ayant besoin d’une documentation est un appareil mal conçu.

J’appuie sur l’interrupteur, deux rangées de led s’allument pour éclairer le le lit. Nous sommes surpris par le silence! La LeapFrog Creatr à côté est comparable à un réacteur ou un aspirateur à technologie cyclonique. Avec la Stream, il est tout à fait envisageable de l’utiliser dans un bureau ou dans son salon.

Sur la carte SD fournie par Volumic, se trouvent déjà des fichiers d’exemples, au format GCode, directement imprimables. Nous choisissons de réserver cette démonstration au cas où nous aurions des soucis à imprimer nos propres objets avec nos propres réglages.

Néanmoins, je vous dévoile la procédure pour imprimer les exemples fournis. Elle est si simple!

Introduire la carte SD dans son logement, choisir le fichier à imprimer en tournant la molette de l’écran de contrôle de l’imprimante puis appuyer sur la molette pour lancer l’impression.

C’est tout!

Nous avons choisi d’imprimer l’outil envoyé par la NASA par mail à la station spatiale.

Cet objet ne figure pas parmi ceux fournis par Volumic. Il est difficile à imprimer, surtout en ABS car le manche comprend des chanfreins. En outre, le cliquet doit tourner!

outil nasa
A gauche, l’outil imprimé avec la LeapFrog, à droite imprimé avec la Stream 20 pro

L’objet est préparé à l’aide du logiciel Simplify3D. Ce logiciel est payant (et cher!) mais il est incomparablement supérieur à tous les autres et à tout point de vue.

Avec chaque imprimante 3D, Volumic fourni une clé USB (en plus de la carte SD) qui contient tous les logiciels gratuits du marché. Les versions pour windows bien sûr mais également les version Linux et… Mac!

On y trouve Repetier-Host, Cura, MeshLab, OpenSCAD et blender. Hélas, la version Mac de Repetier est très en retard sur la version Windows.

Notez que cette dernière est livrée entièrement configurée pour la Stream, pour tous les filaments que l’imprimante est capable d’avaler: PLA, ABS, HIPS, FPE, WOOD, JAFLEX, NYLON, PC, PETT, aussi bien en 1,75mm qu’en 3mm!

configure

 

repetier-pc
repetier-host sous windows: un pion de jeu d’échec avec son « brim »

Pour les utilisateurs de Mac qui s’inquiètent de l’incompatibilité entre leur machine et la Stream sachez que les logiciels Windows fonctionnent très bien sous « Parallels » et que, seconde bonne nouvelle, un pilote Simplify3D va être développé! (MAJ du 14 avril 2015: le pilote est maintenant disponible sur le site de Volumic)

Bien que cette première impression nous ai donné toute satisfaction sans changer AUCUN paramètre sous Simplify3D, je me suis quand même plongé dans la documentation de l’imprimante qui précise les réglages à faire si on ne veut pas utiliser Repetier sous Windows.

Premières impressions:

Au sens propre comme au figuré, la Stream 20 PRO impressionne. La résolution annoncée de 60 microns fait réellement la différence avec le modèle 20 de base. Avec un bon filament (nous utilisions forcément de l’OPtimus, le filament professionnel distribué par Filament-ABS) et avec certaines couleurs, difficile de voir les couches.

outils nasa tete
Des couches quasi invisibles.

gaine

 

moidule noir abs
Moidule en ABS Optimus
moidule noir raft
Moidule imprimé avec un « raft »

Les seules imprimantes FDM de cette gamme que j’ai pu voir imprimer avec une aussi grande précision réelle, sont la Zortax et surtout la Spiderbot.

venus pla noir
Avec du PLA, généralement brillant, les strates sont plus visibles mais le résultat reste bluffant

La Zortrax se situe entre la stream 20 et le modèle 20 PRO, tandis que la Spiderbot affiche des résultats similaires au modèle PRO de chez Volumic. Cependant cette dernière possède une chambre isolée et chauffée qui permet de dépasser certains problèmes techniques (le « warping » notamment.) À ce propos je fus assez déçu de constater que Volumic ne propose pas d’imprimante avec chambre. Certes les parois et la porte en Plexiglas protègent remarquablement bien la zone d’impression d’éventuels courants d’air. Cependant je suis persuadé qu’un modèle fermé, pour un tarif similaire à la Stream 30 pourrait faire un carton et pas seulement chez les professionnels (Une future Stream 30 PRO?)

Pour arriver à une telle précision réelle, il faut maitriser la température, la ventilation et aligner du matériel et des composants de qualité: rigidité de la structure, absence de vibration, composants haut de gamme supportant les écarts de température sur la durée.

L’imprimante 3D Stream 20 PRO réunit toutes ces caractéristiques. Il faudra néanmoins accepter d’en payer le prix car les tarifs sont sensiblement plus élevés que ceux de ses concurrentes directes. Les clients de Volumic ne sont vraisemblablement pas des « geeks » qui prennent plaisir à mettre les mains dans le cambouis et qui passent plus de temps à régler et bricoler leur machine qu’à imprimer. Le client Volumic est celui qui a besoin d’une imprimante 3D pour ce qu’elle est censée faire: imprimer en 3D sans prise de tête.

Une imprimante 3D pensée dans les moindres détails:

Nous avons été impressionné par le souci du détail. Tout a été pensé pour faciliter l’usage de la machine et pour rendre l’éventuelle maintenance aisée. Tout les éléments sont accessibles, les câbles sont discrets, bien agencés et ne gènent en aucune façon le déplacement des pièces mobiles, ce qui est loin d’être le cas sur la plupart des machines concurrentes.

Le démontage est facilité par un nombre réduits de types de boulons ou vis. Les outils fournis avec la machine permettent de tout démonter.

Chargement du filament:

Le chargement (et l’éjection) du filament est automatisé: il suffit de glisser le fil dans la gaine prévue à cet effet et de choisir « chargement du filament » dans le menu très simplifié du panneau de commande. C’est tout. L’extrudeur va se mettre à chauffer et quand il atteint les 220°C, le fil est entrainé et positionné automatiquement. Parfois, la pointe du filament filament « accroche » à la sortie du tube semi-rigide et à l’entrée de la chambre froide. Il faut alors l’aider en le tournant un peu.

Calibrage du lit d’impression:

Normalement vous recevez la machine calibrée et prête à imprimer. Celle que nous testions était mal calibrée. Un dérèglement probablement dû au transport.

Comme nous avions l’habitude d’ajouter systématiquement un raft pour nos impressions à base d’ABS nous ne nous sommes pas aperçu du problème tout de suite. Puis en testant sans raft, afin d’obtenir une surface inférieure aussi lisse et douce que les fesses de ma première conquête, nous avons eu la désagréable surprise de constater qu’aucun objet d’adhérait au lit. Même avec du PLA et force laque, il n’y avait rien à faire.

ô rage ! ô désespoir ! ô adhésion ennemie !
N’ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

Comme nous avions prévu de calibrer pour notre test,  allons-y!

Comme d’habitude, je ne lis pas la documentation, je la survole tout au plus. Pas de calibrage automatique. Nous sommes un peu surpris et un peu déçu car cette fonctionnalité devrait faire partie de cette imprimante 3D si bien pensée et conçue pour faciliter la vie. Après avoir vu le calibrage automatique et systématique (avant chaque impression) sur l’ECV One de chez EcrewVis, il est difficile d’imaginer que l’équivalent n’existe pas ailleurs. Dans une prochaine évolution? Espérons le.

Le calibrage est évidemment très simple: un clic sur la molette après avoir choisi l’option… « Calibrage ». Quelle surprise! 🙂

La buse se déplace et se positionne dans un coin du lit. Il faut alors placer une feuille de papier (80gr) entre la buse et le lit. Cette feuille doit toucher la buse mais elle doit pouvoir se déplacer sans problème. Curieusement, le réglage s’effectue de différente façon selon le coin. en agissant sur de petites vis allen qui maintiennent le plateau, sur un petit « trim » (un machin que l’on visse) et sur la molette du panneau de réglage. C’est cette dernière qui offre le réglage le plus simple et le plus précis. On se demande pourquoi les quatre coins (et le point central) ne se règlent pas de cette façon. Curieux.

Toujours est-il que trois minutes plus tard et sans lire la documentation, le « point zéro » est calibré. L’adhésion est alors parfaite, du moins avec du PLA; l’ABS, notre matériau préféré, souffrant d’un retrait plus prononcé est plus délicat à imprimer. Néanmoins concernant l’adhésion, le raft n’est plus nécessaire, un brim suffit.

La température du lit monte jusqu’à 110°C ce qui est très bien. Mieux encore, elle est uniforme sur la totalité de la surface, ce qui est rare. La montée en température est rapide. Détail qui a son importance et qui montre une fois de plus que le processus a été réfléchi: le lit, plus long à monter en température que la tête, commence à chauffer avant le reste. Sur bien des machines, c’est aléatoire. Un tête qui est prête avant le lit est source de gaspillage puisqu’il faut maintenir la température pendant que le lit chauffe.

pieces echec

La machine est équipée d’un détecteur de fin de fil. C’est très pratique car cela permet d’éviter le gaspillage et d’utiliser une bobine jusqu’à la fin. Jusqu’à présent et sur la quasi totalité des machines, soit on surveille la fin de bobine pour faire une pause au bon moment et changer la bobine, soit on change préalablement la bobine entamée pour une neuve afin d’éviter la fin prématurée de l’impression et par conséquent le ratage de celle-ci et la mise au rebut de l’objet non terminé.

Autre avantage, il est ainsi possible d’imprimer facilement en couleur avec un seul extrudeur. Il suffit de couper le fil et de changer la bobine pendant l’extrusion du petit bout restant. Bien sûr, on peut réaliser la même opération en faisant une pause pendant l’impression mais l’opération est un peu plus longue et compliqué quand on veut retirer le filament sans faire bouger la tête.

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Impression multicolore rendue facile grace à la détection de fin de fil (image fournie par Volumic)

Comparaison avec le reste de la gamme:

De notre point de vue et de celui de Filament-abs.fr, le modèle Stream 20 PRO affichée au prix public de 3420€ TTC (2850€ HT) est celui qui offre le meilleur rapport qualité/prix. Deux fois plus précise que l’entrée de gamme( à 2640€ TTC), 60 microns au lieu de 120 microns. Notez que pendant notre test, le modèle 20 PRO a évolué et affiche dorénavant une précision maximum de… 15 microns!

La précision offerte par le modèle « PRO » vaut-il les 780€ TTC de différence entre les deux modèles? Oui, sans aucun doute. Néanmoins, la fabrication française se paie au prix cher mais pour ce tarif, vous imprimerez en 3D sans souci, ce qui, en toute franchise est loin d’être le cas avec l’ensemble de la concurrence.

Si vous voulez dépasser le volume d’impression (200x200x240)  qui est devenu le standard de l’impression 3D FDM grand public, il vous faudra acquérir le modèle « 30 » avec ses 300x200x300. Une taille considérable mais il faudra débourser 4188€ TTC (3490€ HT). Une somme élevée pour un particulier. Le positionnement est manifestement fait pour les professionnels. Cependant, à ce niveau de prix, peut-être faudrait il envisager une imprimante à chambre chauffée, calibrage automatique, filtre, etc. (ajoutez 1500-2000 euros)?

Notez que la prochaine évolution de la STREAM 20 pro, verra son volume d’impression passer à 200x200x250.

La Stream 20 PRO au quotidien:

Hormis le problème de calibrage du début du test, nous n’avons rencontré aucun souci au cours de ces quatre semaines si ce n’est quelques remarques désobligeantes de mon épouse délaissée. Remarques acerbes qui ont rapidement laissées place à un intérêt grandissant pour la machine et sa production. Un ménage à trois se profile. L’imprimante 3D Stream 20 PRO fonctionne quasiment en continu et enchaine les impressions. Rien ne lui résiste, nous n’avons pas rencontré un seul design pouvant poser problème. Ce qu’une imprimante 3D FDM peut faire, la Stream 20 PRO peut le faire et la plupart du temps, beaucoup mieux.

Retrait d’un fil, ajout d’un autre, retrait de la carte SD, ajout d’un fichier, lancement d’une impression, etc. Toutes les opérations sont rapides. Bien sûr nous aurions aimé une liaison wifi afin d’éviter la liaison par carte SD, certes rapide mais assez fastidieuse à la longue.

Une liaison wifi permettrait de lancer des impressions rapidement sur plusieurs machines. Peut-être dans une nouvelle version?

Quoiqu’il en soit, l’imprimante 3D Stream 20 Pro est la meilleure imprimante qui nous ait été donné de tester jusqu’à présent. Une grande réussite!

Le positif:

  • Précision impressionnante!
  • simplicité
  • fiabilité
  • Bon rapport qualité/prix

Le négatif:

  • Pas compatible directement avec le Mac (cependant il existe pilote pour Simplify3D )
  • Pas de calibrage automatique

 

Notes sur 100:

Qualité de fabrication:
[progressbar width= »85″ color= »#ddd » text= »90″] Simplicité d’utilisation:
[progressbar width= »85″ color= »#ddd » text= »85″] intégration dans une pièce à vivre:
[progressbar width= »85″ color= »#ddd » text= »85″] Pourcentage de réussites:
[progressbar width= »97″ color= »#ddd » text= »97″] Influence sur le climat:
[progressbar width= »15″ color= »#ddd » text= »15″] hop:
[progressbar width= »80″ color= »#ddd » text= »80″] Capacité d’agrandissement du pénis:
[progressbar width= »30″ color= »#ddd » text= »30″] Rien que du bon:
[progressbar width= »98″ color= »#ddd » text= »98″] Qualité/prix:
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