C’est vers le milieu du XVIIIe siècle que l’on trouve l’origine du terme « filament ». On le doit à la Duchesse de la Quenouille qui, s’il on peut en croire ses mémoires*, s’écria, alors que son mari revenait prématurément de sa partie de chasse:

« Mon mari! File, amant! »

L’orthographe créative de la Duchesse nous a légué l’actuelle forme du terme, « filament »

 

La Duchesse de la Quenouille.
La Duchesse de la Quenouille.

 

Dès lors, l’amant, terrorisé par le retour impromptu de son rival officiel, ne pu définitivement plus exhiber sa superbe d’antan.

– » Vous ne tirâtes pas assez vigoureusement, ma chère amie »

-« Mais enfin, comte, si je tire plus fort sur votre chevillette, votre bobinette cherra définitivement »

Ainsi, désespéré, l’amant sombra dans l’alcool et le jeu et à défaut de ne plus pouvoir  arpenter les reliefs sublimes de sa maitresse callipyge, voua sa vie au jeu, le « Cul de Chouette » et mourut ruiné d’une cirrhose carabinée.

Si les mémoires de la Duchesse ne nous dévoilent rien sur son impression sur les 3 dés pour lesquels son amant l’abandonna, nous sommes maintenant absolument certains qu’elle fût la muse d’un de ses descendants, Charles Hull, inventeur de la technologie qui inspire ses lignes.

 

*« La Quenouille et les gonades », « mes mémoires » par la Duchesse de la Quenouille (édition épuisée)